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Les Noces de Figaro

Les Noces de Figaro (titre original italien : Le nozze di Figaro ÉcouterK. 492) est un opera buffa1 en 4 actes de Wolfgang Amadeus Mozart, sur un livret en italien de Lorenzo da Ponte2 inspiré de la comédie de BeaumarchaisLe Mariage de Figaro2.

LES NOCES DE FIGARO –
LE NOZZE DI FIGARO –
Compositeur : Wolfgang Amadeus MOZART –
Livret : Lorenzo DA PONTE –
Direction musicale : Jeremie RHORER –
Mise en scene : James GRAY –
Scenographie : Santo LOQUASTO –
Costumes : Christian LACROIX –
Lumieres : Bertrand COUDERC –
Avec :
Robert GLEADOW (Figaro) –
Stephane DEGOUT (Le Comte Almaviva) –
Carlo LEPORE (Bartolo) –
Jennifer LARMORE (Marceline) –
Rodolphe BRIAND (Curzio) –
Le 21 11 2019 –
Au Theatre des Champs Elysees –
Photo : Vincent PONTET

La première représentation a lieu le  au Burgtheater de Vienne2.

L’opéra est ensuite repris à Vienne le  avec l’ajout de deux airs pour le rôle de Suzanne : Al desio di chi t’adora K 577 (qui remplace le n°27 à l’acte IV : Deh, vieni, non tardar) et Un moto di gioia mi sento K 579 (qui remplace le n°12 à l’acte II : Venite… inginocchiatevi), en raison du changement de chanteuse (Adriana Ferrarese remplace Nancy Storace, partie pour Londres).

Genèse

L’opéra est le premier des trois issus de la collaboration entre Mozart et Lorenzo da Ponte, les deux autres étant Don Giovanni et Così fan tutte. C’est Mozart qui choisit initialement la pièce de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, et qui l’apporta à da Ponte, qui, en l’espace de six semaines, en fit un livret en italien, en ôtant par ailleurs du texte toutes les références politiques de l’original. Contrairement à ce que l’on pense souvent, le livret reçut l’approbation de l’empereur Joseph II, avant même que Mozart en commence la partition3. Il est vrai que ce souverain avait interdit en  la représentation de la pièce de Beaumarchais au théâtre de Vienne.

La société impériale pour l’opéra italien paya à Mozart 450 florins pour l’œuvre4 ; c’était là le triple du (maigre) salaire qu’il avait reçu lorsqu’il travaillait comme musicien de la cour à Salzbourg. De son côté, da Ponte reçut la somme de 200 florins4.

L’empereur Joseph II fut indirectement responsable de la préservation de cette magnifique partition pour la postérité : il cherchait en effet un opéra afin qu’il soit produit à la Cour impériale, et l’œuvre de Mozart faisait partie de celles qui étaient envisagées pour cela, de même que plusieurs autres, écrites par des compositeurs contemporains. Après le peu de succès qu’il avait obtenu jusque-là, Mozart avait, dit-on, juré que si son travail n’était pas retenu, il jetterait toute la partition au feu5.

Distribution et créateurs

Rôles Tessitures Première, 
Le comte Almaviva, grand d’Espagne baryton Stefano Mandini
La comtesse Almaviva, sa femme soprano Luisa Laschi
Susanna (Suzanne), sa camériste, fiancée de Figaro soprano Nancy Storace
Figaro, valet de chambre du comte baryton-basse Francesco Benucci
Cherubino (Chérubin), page du comte mezzo-soprano travesti Dorotea Bussani
Marcellina (Marceline), gouvernante mezzo-soprano Maria Mandini
Bartolo, médecin basse Francesco Bussani
Basilio (Basile), maître de musique ténor Michael Kelly
Don Curzio, juge ténor Michael Kelly
Antonio, jardinier du comte et oncle de Susanna basse Francesco Bussani
Barbarina (Barberine), sa fille soprano Anna Gottlieb

Réception

L’œuvre connut un succès croissant. Après la première représentation, huit autres furent données et ce jusqu’à la fin de la même année. En témoigne une lettre du père de Mozart à sa fille :

« Lors de la deuxième représentation, cinq numéros ont été répétés, et sept à la troisième, dont un petit duetto qu’il a fallu chanter trois fois. »

De même l’Empereur stipula qu’« il sera interdit de répéter tout morceau destiné à plus d’une voix » dans un souci de « ne pas allonger la durée des opéras. »

Cependant la reconnaissance ne fut pas unanime ; en effet, une partie de la noblesse ne comprenant pas l’œuvre, la délaissa6. La réception fut donc mitigée à Vienne.

Tout le contraire à Prague puisque l’œuvre fut un succès immédiat, si grand que l’on fredonnait dans les rues les mélodies de l’opéra, Mozart lui-même s’en émerveillait. Et Prague lui commanda Don Giovanni, deuxième collaboration avec Da Ponte.

À Vienne l’œuvre fut jouée (du vivant de Mozart) : neuf fois en 1786, douze fois lors de la reprise de 1789, quinze fois en 1790 et trois fois en 17917.

Personnages

De nombreux personnages de la pièce de Beaumarchais ont été gardés mais quelques-uns ont été supprimés. En effet, Grippe Soleil, Pédrille et Double-Main ne sont pas présents dans le livret. De plus, Fanchette (la fille d’Antonio) porte maintenant le prénom Barberine et Don Gusman Brid’oison a été remplacé par le personnage de Don Curzio.

Argument

La Rosine du Barbier de Séville est devenue maintenant la comtesse Almaviva8 ; son mari, toutefois, est loin d’être un modèle de vertu. Il poursuit entre autres de ses assiduités la camériste de sa femme, Suzanne (Susanna), qui doit épouser Figaro entré au service du comte, et la fille de son jardinier, Barberine (Barbarina). Il est toutefois concurrencé par le page Chérubin (Cherubino), qui est amoureux de toutes les femmes et en particulier de la comtesse sa marraine. De son côté, la vieille Marceline (Marcellina), aidée du docteur Bartholo (Bartolo) et du maître de musique Basile (Basilio), veut empêcher les noces de Suzanne et Figaro, car ce dernier lui a fait une promesse de mariage.

Acte I

Acte I : Le comte fait des avances à Suzanne tandis que Chérubin est dissimulé sur le fauteuil (Aquarelle anonyme)

Ouverture

La chambre de Figaro et de Suzanne

Le rideau se lève sur une chambre meublée seulement d’un fauteuil. Figaro mesure l’espace afin d’y placer le futur lit nuptial, tandis que Suzanne essaye un chapeau orné de fleurs (Duo « Cinque… dieci… »). Suzanne ne veut pas de cette chambre que le comte leur destine, et qui se trouve à proximité des chambres de leurs maîtres car le comte risque d’en profiter pour la poursuivre de ses assiduités (Duo « Se a caso madama »). Figaro, demeuré seul, promet de déjouer les projets de son maître (Air « Se vuol ballare »).

Entrent Bartholo et Marceline, un contrat à la main. La vieille fille lui demande de l’aider à obliger Figaro à honorer une ancienne promesse de mariage avec elle. Bartholo promet de s’y employer pour se venger de Figaro, auquel il n’a pas pardonné le soutien apporté au comte pour lui souffler sa pupille Rosine8 (Air « La vendetta »). Il sort. Marceline aperçoit Suzanne et essaie de la provoquer, mais cela se retourne contre elle (Duo « Via resti servita »). Chérubin entre et raconte à Suzanne que le comte l’a surpris seul avec la jeune Barberine et l’a congédié. Il vole à Suzanne un ruban appartenant à la comtesse sa marraine, dont il est amoureux (Air « Non so più cosa son, cosa faccio »).

Le comte apparaît, pour réitérer ses avances à Suzanne et la convaincre d’accepter un rendez-vous galant. Chérubin n’a que le temps de se cacher derrière le fauteuil. La voix de Basile, maître de musique et langue de vipère, se fait entendre et le comte se cache à son tour derrière le fauteuil, tandis que Chérubin bondit dessus, et que Suzanne le recouvre d’une robe. Mais le comte qui a révélé sa présence finit par découvrir le page (Trio « Cosa sento!  »). Chérubin n’est sauvé que par l’entrée de Figaro à la tête d’un groupe de paysans, venus remercier à point nommé leur maître d’avoir aboli le droit de cuissage sur son domaine (Chœur « Giovinete liete »). Figaro demande au comte sa bénédiction pour le mariage, mais celui-ci temporise et réitère le bannissement de Chérubin, lui ordonnant de rejoindre son régiment. Figaro se moque ouvertement du jeune garçon en lui décrivant les affres de la vie militaire, mais lui dit tout bas qu’il doit lui parler avant son départ (Air « Non più andrai, farfallone amoroso »).

Acte II

Fichier audio
Voi, che sapete che cosa é amor
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interprété par Nellie Melba

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La chambre de la comtesse

La comtesse se lamente sur le délaissement de son mari. (Air « Porgi, amor, qualche ristoro ») Suzanne fait entrer Chérubin qu’elle convainc de chanter à sa marraine la sérénade qu’il a composée en son honneur (Air « Voi, che sapete che cosa é amor »). Les deux femmes décident de l’habiller en femme afin qu’il puisse rester incognito au château et assister au mariage (Air « Venite inginocchiatevi »). Arrivée du comte qu’une lettre anonyme a averti d’un rendez-vous galant donné à sa femme (il s’agit en fait d’un « faux » de Figaro, destiné à susciter la jalousie du comte et le détourner ainsi de Suzanne) ; Chérubin va se cacher dans le cabinet voisin mais il fait tomber un meuble et le comte, soupçonnant la présence d’un amant, ordonne à sa femme de l’ouvrir. La comtesse refuse, l’assurant que c’est seulement Suzanne ; le comte, fermant toutes les portes, entraîne dehors la comtesse en attendant de trouver une façon de forcer la porte du cabinet.

Suzanne, qui a pu se cacher inaperçue dans l’alcôve, fait sortir Chérubin de sa cachette ; il saute par la fenêtre tandis que la servante prend sa place dans le cabinet. Le comte et la comtesse reviennent. La comtesse avoue que c’est Chérubin qui est caché là pour une farce bien innocente. Le comte entre en fureur et force la porte mais, à son grand étonnement (et à celui de la comtesse), il tombe sur Suzanne. Celle-ci lui annonce ironiquement que la lettre était fausse et que c’était un jeu destiné à le rendre jaloux afin qu’il s’intéresse un peu plus à sa femme. Figaro entre et subit les remontrances de son maître mais désamorce le conflit en rappelant que la noce les attend.

Le jardinier Antonio apporte à ce moment au comte un papier qu’il dit avoir été perdu par un homme qui vient de sauter par la fenêtre de la comtesse. Le document se révèle être la nomination de Chérubin comme officier et Figaro se sort de cet embarras en affirmant que c’est lui qui a sauté et qu’il était en possession de ce papier dans le but d’y faire apposer par le comte un cachet manquant. Alors que tous s’apprêtent à rejoindre la noce, Marceline, Bartholo et Basile apparaissent, réclamant l’application du précédent contrat. Le mariage de Figaro et de Suzanne se trouve reporté afin que le comte puisse juger sereinement – dit-il – de sa validité.

Acte III

Acte III : Le Comte invite Suzanne à venir le rejoindre plus tard dans le jardin

La salle du mariage

Le comte est embarrassé par les événements récents. Suzanne se présente et lui annonce qu’elle consent à le rencontrer dans le jardin. Le comte se réjouit de ce revirement (Duo « Crudel, perché finora »). Alors qu’elle quitte la pièce, elle dit à voix basse à Figaro que leur succès est maintenant certain et son procès gagné d’avance. Le comte entend ces dernières paroles et comprend qu’il a été trompé (Air « Hai già vinta la causa »). La scène du procès s’ensuit au cours de laquelle on découvre que Figaro est le fils naturel de Marceline et Bartholo, enlevé à sa naissance et qu’il ne peut donc pas épouser la vieille gouvernante (Sextuor « Riconosci in questo amplesso una madre »). les anciens ennemis tombent dans les bras les uns des autres au grand dépit du comte.

Seule, la comtesse songe à son bonheur perdu (Récitatif et air « E Susanna non vien… Dove sono ») quand Suzanne arrive et lui annonce la bonne nouvelle. Les deux femmes décident de confondre le comte en lui donnant rendez-vous le soir même dans le jardin, où la comtesse se rendra sous les habits de Suzanne (Duo « Canzonetta sull’aria »). Le comte devra lui rendre l’épingle qui ferme la lettre pour montrer qu’il l’a bien reçue. Un chœur de jeunes paysans, avec parmi eux Chérubin, donne une sérénade à la comtesse (« Ricevete, o padroncina »). Le comte arrive avec Antonio et, découvrant le page, se met d’abord en colère puis finit par pardonner, apaisé par Suzanne qui lui remet discrètement le billet. L’acte s’achève par le double mariage de Figaro avec Suzanne et de Marceline avec Bartholo.

Acte IV

Dans le jardin, le soir (parfois précédé par une scène dans le couloir).

Suivant les directives du billet, le comte a envoyé Barberine porter l’épingle à Suzanne mais la jeune fille l’a perdue (Cavatine « L’ho perduta, me meschina »). Innocemment, elle apprend à Figaro – qui n’est pas au courant de la supercherie – l’existence du rendez-vous. Malgré les tentatives d’apaisement de sa mère, qui lui explique que les femmes ont des circonstances atténuantes (Air « Il capro e la capretta »), il décide de se venger et de confondre les amants sous les yeux de tous, après avoir déversé sa rancœur vis-à-vis de la gent féminine (Récitatif et air « Tutto è disposto… Aprite un po’ quegli occhi »).

Suzanne, qui a été prévenue par Marceline, veut également jouer un tour à Figaro qui ose douter de sa fidélité. Après avoir prêté sa voix à la comtesse pour exprimer son impatience à retrouver son « bien-aimé » (Air « Giunse alfin il momento…Deh vieni, non tardar »), elle tente sous les habits de la comtesse de séduire Figaro mais celui-ci évente rapidement la ruse et, après être entré dans son jeu en devenant de plus en plus entreprenant, ce qui met en rage Suzanne, il lui avoue l’avoir reconnue. Les jeunes mariés font la paix alors que paraît la comtesse, d’abord importunée par Chérubin qui pense faire la cour à Suzanne, puis rejointe par le comte qui lui déclare son amour et lui offre en gage une superbe bague.

Désirant pousser la farce jusqu’au bout, Figaro se met à courtiser à haute voix la fausse comtesse, ce qui a pour conséquence de mettre le comte hors de lui, qui appelle ses gens, bien décidé à châtier les coupables. Des lumières apparaissent et les masques tombent à la grande confusion du comte qui n’a plus d’autre choix que d’implorer le pardon de sa femme. Elle accepte ses excuses et ils décident de terminer la soirée au son des chants et des danses du banquet de mariage (Final « Contessa perdono… Questo giorno di tormenti »).

Numéros musicaux

Première page du manuscrit – Ouverture

  • Ouverture (Sinfonia)

ACTE I

  • no 01. Duetto « Cinque… dieci… venti » (Figaro, Suzanne)
  • no 02. Duetto « Se a caso madama la notte ti chiama » (Figaro, Suzanne)
  • no 03. Cavatina « Se vuol ballare, signor Contino » (Figaro)
  • no 04. Aria « La vendetta, oh la vendetta » (Bartolo)
  • no 05. Duetto « Via, resti servita, madama brillante » (Marceline, Suzanne)
  • no 06. Aria « Non so più cosa son, cosa faccio » (Chérubin)
  • no 07. Terzetto « Cosa sento ! Tosto andate » (Le Comte, Basile, Suzanne)
  • no 08. Coro « Giovanni liete, fiori spargete »
  • no 09. Aria « Non più andrai, farfallone amoroso » (Figaro)

ACTE II

  • no 10. Cavatina « Porgi, amor, qualche ristoro » (La Comtesse)
  • no 11. Canzona « Voi che sapete » (Chérubin)
  • no 12. Aria « Venite, inginocchiatevi » (Suzanne) (air supprimé, pour la reprise à Vienne de 1789, et remplacé par l’aria « Un moto di gioia mi sento » K 579)9
  • no 13. Terzetto « Suzanna or via sortite » (Le Comte, la Comtesse, Suzanne)
  • no 14. Duettino « Aprite, presto, aprite » (Suzanne, Chérubin)
  • no 15. FINALE :
    • « Esci ormai, garzon malnato » (Le Comte, la Comtesse & Suzanne)
    • « Signori ! di fuori son già i suonatori » (Figaro, le Comte, la Comtesse, Suzanne, Antonio)
    • « Voi, signor, che giusto siete » (Marceline, Basile, Bartolo, le Comte, Suzanne, la Comtesse, Figaro)

ACTE III

  • no 16. Duetto « Crudel ! Perchè finora farmi languir così ? » (Le Comte, Suzanne)
  • no 17. Recitativo « Hai già vinta la causa ? » et Aria « Vedrò, mentr’io sospiro » (Le Comte)
  • no 18. Sestetto « Riconosci in questo amplesso » (Marceline, Figaro, Bartolo, Don Curzio, le Comte, Suzanne)
  • no 19. Recitativo « E Susanna non vien ? » et Aria « Dove sono i bei momenti » (La Comtesse)
  • no 20. Duettino « Sull’aria ? Che soave zeffiretto » (Suzanne, la Comtesse)
  • no 21. Coro di Contadine « Ricevete, o padroncina »
  • no 22. FINALE :
    • Marcia « Ecco la marcia ! » (Figaro, Suzanne, le Comte, la Comtesse)
    • Coro « Amanti costanti » (1re partie)
    • Recitativo « Eh ! Già solita usanza ! » (Le Comte, Figaro)
    • Coro « Amanti costanti » (2e partie)

ACTE IV

  • no 23. Cavatina « L’ho perduta, me meschina » (Barberine)
  • no 24. Aria « Il capro e la capretta » (Marcelline)
  • no 25. Aria « In quegli anni in cui val poco » (Basile)
  • no 26. Recitativo « Tutto è disposto » et Aria  « O Aprite un po’ quegli occhi » (Figaro)
  • no 27. Recitativo « Giunse alfin il momento » et Aria « Deh vieni, non tardar » (Suzanne) (air supprimé, pour la reprise à Vienne de 1789, et remplacé par l’aria « Al desio di chi t’adora » K 577)9
  • no 28. FINALE :
    • « Pian pianin » (Chérubin, la Comtesse, le Comte, Suzanne, Figaro)
    • « Gente ! gente ! all’armi ! all’armi ! » (Le Comte & tout le monde)

Instrumentation

 

Instrumentation des Noces de Figaro
Cordes
premiers violonsseconds violonsaltos,violoncellescontrebasses
Bois
flûtes,2 hautbois,

clarinettes si bémol,

bassons,

Cuivres
cors, 2 trompettes en ré
Percussions
timbales
Clavier
clavecin (pour les récitatifs secs)

 

Traductions, adaptations

Notes et références

  1.  L’œuvre est qualifiée sur la partition de « commedia per musica » (« comédie en musique »). Le Nozze di Figaro, opéra buffa inn 4 atti. Pezzi di musica 34  … tel qu’inscrit par Mozart sur son propre catalogue, d’après Le Guide des opéras de Mozart, dir. de Brigitte Massin, Fayard.
  2. ↑ Revenir plus haut en :a b et c François-René TranchefortL’Opéra, Paris, Éditions du Seuil, 634 p. (ISBN 2-02-006574-6)p. 101
  3.  Nathan Broder, Essai sur l’opera, édition Schirmer.
  4. ↑ Revenir plus haut en :a et b Otto Erich Deutsch, Mozart: A Documentary Biography, Stanford University Press, p. 274
  5.  Edward Reichel, « BYU to stage Marriage of Figaro » [archive] in Deseret Morning News, 21 octobre 2007.
  6.  Livret accompagnant Le nozze di Figaro, publié aux éditions Harmonia Mundi, p. 16.
  7.  Jean & Brigitte MASSIN, MOZART, Fayard, 1300 p.p. 510.
  8. ↑ Revenir plus haut en :a et b Voir Le Barbier de Séville
  9. ↑ Revenir plus haut en :a et b Marc Vignal, HAYDN ET MOZART, FAYARD, 476 p. (ISBN 9782213611105)p. 297
  10.  https://imslp.org/wiki/Le_nozze_di_Figaro,_K.492_(Mozart,_Wolfgang_Amadeus) [archive]

Annexes

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Bibliographie

  • Brigitte Massin (dir.), Pierre Flinois, Pierangelo GelminiClaire GibaultStéphane Goldet, Sylvie Hauel, Jean-Charles HoffeléPiotr Kaminski, Fernand Leclercq, Jean-Christophe Marti, Isabelle Moindrot, Michel Noiray, Isabelle Rouard, Marie-Aude Roux, Patrick ScemamaRémy Stricker, Silvia Tuja et Marie Christine VilaGuide des opéras de Mozart : Livrets — Analyses — Dicographies, Paris, Fayardcoll. « Les Indispensables de la musique », , 1006 p. (ISBN 978-2-213-02503-2).

Articles connexes

Liens externes

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